Littérature, coaching, aide à l'éveil des consciences pour s'aligner à un nouveau monde.
Prenons l’exemple de l’arc-en-ciel. Tout le monde sait qu’il s’agit de la décomposition de la lumière qui est le blanc pur. Or, chaque couleur de cette lumière représente un attribut divin, une puissance divine. Toutes les couleurs de l’arc-en-ciel réunies reflètent donc la toute-puissance de Dieu. On dit aussi que chaque couleur contient également l’essence de l’amour divin, et que Dieu a assigné un archange à la régence de chacun de ses rayons. On en donne d’ailleurs des détails en spiritualité. Chacune de ces couleurs est aussi appelée « rayon divin » ou encore « flamme divine ». On peut comprendre par là comment la lumière et sa décomposition sont très représentatives de Dieu ou, plus précisément, de ses émanations. En outre, en cherchant, vous pourriez vous apercevoir qu’on retrouve cette structure dans pas mal de choses comme les notes de la gamme musicale… ou le système solaire. En général, on retrouvera une structure de douze puissances dont cinq bien souvent cachées, plus une englobant le tout et donnant l’équilibre et le ton global de l’ensemble. Cette composition est des plus significatives quand on l’étudie. Mais arrêtons-nous là pour le moment, car tout cela demanderait le développement d’un nouveau sujet à part entière. Voyons plutôt comment fonctionne ce fameux processus que l’on appelle sous une certaine forme « jugement ».
Au risque de me répéter, je rappelle que l’homme a été créé à l’image de Dieu. Qu’il a tout son potentiel, et qu’il émet des ondes vibratoires tout comme Dieu. Notez également que la lumière et ses couleurs sont la traduction de vibrations interprétées par l’œil humain. Bref, il ne s’agit que d’énergies traduites de différentes façons.
Pour faire simple, plutôt que le blanc pur, supposons que l’émission constante de la lumière divine soit de couleur jaune. Un individu émet également cette même couleur jaune. Ainsi les émanations de cet homme et celles de Dieu fusionnent. À ce moment, on pourra dire que l’individu est aligné au divin puisqu’ils émettent la même chose et, de ce fait, la couleur n’est pas dénaturée. Il s’agit donc là du meilleur des cas dans le meilleur des mondes.
Supposons maintenant que cet homme émette du bleu. Dès lors, ce bleu agira comme un filtre. Au lieu de recevoir la pure émanation divine jaune, cet homme aura du jaune filtré par son bleu. Ainsi modifié, il recevra alors du vert. Aussi, dans l’absolu, cela ne veut pas dire que ce vert est une couleur mauvaise en soi. En réalité, il s’agit d’une correction dans le bon sens pour chacun. Au regard des épreuves, même si la correction peut être mal vécue par l’individu, elle reste obligatoirement bonne dans l’absolu. En simplifiant un peu plus l’image, nous pouvons dire que – globalement – les émanations divines renvoient nos propres émanations de la même façon que le ferait un miroir multifacettes. De ce fait, le retour en est toujours amplifié.
Dieu crée sans cesse et, pour aller encore plus haut dans sa création, il est allé encore plus bas, comme pour prendre de l’élan. Il a créé le monde matériel pour l’élever à l’image du monde d’en haut. Pour cela, il a encore créé l’homme à son image tout comme il a créé les anges pour servir ses desseins. Sauf que l’homme a le libre arbitre de faire ou ne pas faire. Or, il doit maintenant, de lui-même, éduquer ses facultés divines en adéquation avec le ciel.
La mission initiale de l’homme était et demeure toujours de s’élever, et ainsi, élever le monde matériel à l’image du monde d’en haut.
Le problème est qu’au lieu de s’élever l’homme est descendu encore plus bas, dans l’image, en mangeant de l’arbre de la connaissance. Et par ce principe, on peut dire que lorsque l’on descend plus bas, soit on descend aux enfers quelle que soit la forme, soit, si l’on est éduqué d’une sagesse propre, on ne pourra que monter encore plus haut. Ainsi, l’homme aura connu le côté sombre, le doute, le libre arbitre, le problème du choix entre le bien et le mal. Depuis ce dernier, on peut dire que l’homme comporte une faille, mais, d’un autre côté, c’est ce qui en fait un être unique. Malgré le monde de dualité dans lequel il s’est plongé, il parvient à s’élever avec le temps, les expériences et les épreuves.
(extrait de chapitre du livre : Une Nouvelle Conscience UN NOUVEAU MONDE)
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