Littérature, coaching, aide à l'éveil des consciences pour s'aligner à un nouveau monde.
Le monde religieux, croyant ou pratiquant, rapporte des comparatifs de fond intéressants de ces sections en les assimilant aux événements planétaires actuels. Ces comparaisons peuvent également se retrouver dans la vie personnelle de chacun. Il y a donc chaque semaine une nouvelle histoire analysée, et cela se répète de manière cyclique chaque année, un peu à la façon d’un horoscope individuel, également assimilable aux événements planétaires.
On dit que tout est cyclique et se répète. Bien sûr, ce qui est intéressant dans ce genre d’étude, pour l’avoir moi-même pratiqué, c’est précisément ce comparatif des événements et des choses qui se répètent de nos jours, comparativement aux écrits bibliques. En pratique, on assimile certaines formes de faits actuels aux événements de l’histoire biblique. Par l’analyse, on y trouve des ressemblances et l’on déduit la suite des événements en relation à ce qui est écrit. À quelques détails près, tout est identique, tout s’exécute toujours de manière cyclique. Et quand on s’y intéresse, on se rend compte que beaucoup de choses se retrouvent sur des plans analogiques très subtils. Ce n’est pas nouveau ; c’est le karma – ou mazalot en langue hébraïque.
Le terme karma vient de la langue sanskrite indienne. Il désigne dans son ensemble le condensé ou l’effet de toutes nos vies antérieures, suivant ce que nous avons intégré en bien ou en mal durant celles-ci. Suivant cette même philosophie, la réparation ou le dépassement d’un mauvais karma doit se réaliser par le « dharma » qui est en quelque sorte le bon chemin à adopter pour l’élévation, par la dissipation de tout mauvais karma. En spiritualité, on emploie le terme « dépasser » son karma. On ne fait pas trop mention de « dharma » du fait que celui-ci, dans sa philosophie originelle, oblige à certains protocoles et pratiques qui lui sont propres. Or, chacun est libre de le dénommer et de le traiter de multiples façons, suivant son choix personnel.
Aussi, l’Ancien Testament est lié au zodiaque. En outre, remarquez qu’on a souvent tendance à parler de « mauvais karma ». L’homme est bloqué, à croire qu’il préfère comme d’habitude parler du mal, l’entretenir et se nourrir de ses peurs. Or il faudrait plutôt avoir peur d’avoir peur, fuir ses peurs, et travailler à s’en libérer. En définitive, qu’il s’agisse du cas individuel de chacun, ou que l’on parle à l’échelon global de la planète, nous sommes tous sous l’influence du zodiac, du cosmos et du karma. Et cela, tant que nous n’en aurons pas la maîtrise.
Quand l’homme connaîtra certains secrets, il se rendra à l’évidence qu’il doit s’efforcer de changer.
Généralement, les religieux et même les historiens ont la ferme conviction que tout est cyclique et se répète. Mais il faut tout de même ajouter un point tout à fait déterminant : c’est que rien n’est figé ; tout évolue. Tout est en perpétuel changement, surtout ces dernières années où l’évolution et le temps suivent une trajectoire exponentielle. En effet, depuis environ la moitié de la décennie 1980, la fréquence vibratoire terrestre a pratiquement doublé, alors que parallèlement, la force de son champ électromagnétique est en constante diminution. Ce qui fait que le temps se contracte et donne l’impression que de nos jours, et ce de plus en plus, tout va très vite. Les jours et les années passent donc quasiment deux fois plus vite suivant le ressenti de chacun, relatif à son alignement à ladite fréquence. Ce n’est donc pas qu’une impression. La fréquence vibratoire terrestre augmente, ainsi que celle de tout être vivant qui en fait partie, dont l’homme qui ne peut que s’y soumettre.
Quel serait donc l’aboutissement de ce phénomène, et pourquoi ? Je pense que vous le déduirez de vous-même vers la fin de cet ouvrage, quand vos pensées mûriront. En attendant, si vous êtes curieux, je peux vous aiguiller dans vos recherches en vous intéressant – par exemple – à la résonance de Schumann (1952-1957), d’après les travaux du physicien allemand Winfried Otto Schumann.
Continuons
Là où l’on se trompe, c’est que chaque présent a son futur. Si le présent change – et il change –, il en découlera obligatoirement un futur changé. Donc partant de ce principe, on devrait se rendre à l’évidence qu’à chaque instant le futur peut être changé. À chaque instant appartient son futur. Vous me direz là : mais comment fait-on pour changer ce présent ? Eh bien, parfois il suffit d’une bonne pensée pour contrebalancer beaucoup de choses. Vous savez bien qu’une seule goutte d’eau peut faire déborder le vase, alors rendez-vous compte si chacun change !
Oui, je suis conscient que dans le monde politique on entend souvent ce genre de refrain, mais je ne suis pas en train de vous chanter un discours de politicien. Ce que j’entends par « changer », c’est changer en soi, changer de l’intérieur, car rien ne se résout en partant de l’extérieur. Sinon, on tourne en rond, on bricole, on pose des rustines…
Pensez-vous que les politiciens et les gouvernements soient contre vous ? Non, ils sont simplement comme est la moyenne du peuple. Et l’on ne peut pas changer un gouvernement et sa politique si l’on ne change pas déjà en soi. On me dit encore qu’une personne peut changer, mais comment peut-on changer les autres ? Eh bien, rappelez-vous que « tout est énergie », et que l’énergie se communique et interpénètre par l’effet vibratoire. Regardez déjà ce qui peut se passer au sein d’une famille. Quand une personne est en colère – tout de suite, tout le monde se sent mal ; et cela peut parfois aller bien plus loin.
N’est-ce pas évident ? C’est en étant bien que l’on se soigne et que l’on soigne le monde. Et, croyez-moi, c’est contagieux. L’énergie – qu’elle soit bonne ou même mauvaise – se propage naturellement et inexorablement.
Voici une petite histoire de Sigal Barsade (professeur spécialiste de l’intelligence émotionnelle, de l’émotion au travail et, directrice du management en développement personnel au sein de l’université Wharton de Pennsylvanie…).
Un jour, en entrant dans son bureau, Sigal Barsade avait senti que l’atmosphère avait changé de façon positive, alors qu’habituellement, c’était le calme plat et plutôt froid. Ce jour-là, chacun échangeait dans une ambiance sereine ; on ressentait de la joie, du bien-être… Suite à une petite recherche du pourquoi, elle a remarqué qu’un employé réputé toujours de mauvaise humeur était en vacances. Enfin, quand cette personne revint de vacances, de même, l’atmosphère habituelle s’était réinstallée. Ses recherches l’ont amenée à la confirmation que nos états, actions, comportements, etc., ont un impact direct sur l’entourage, de manière contagieuse. Elle confirme également ce qui suit : « Des études menées à Harvard ont montré que si nous sommes heureux, nous aurons tendance à avoir des amis heureux. Pas seulement parce que nous choisissons des gens heureux, mais en raison de la propagation naturelle du bonheur dans tout le réseau social. Nous partageons de l’information à un niveau bien plus fondamental que le simple mental, et nous nous synchronisons en permanence avec nos émotions. »
En fait, il s’agit de l’état empathique de chacun. Nous sommes empathiques à nos pensées et à l’état de l’entourage. Sujet auquel nous consacrerons un nouveau chapitre.
Qu’est-ce qui fait, d’après vous, que de temps à autre, tout va bien, vous avez le moral au top, vous vous sentez plein de vie et de joie, alors que d’autres fois, c’est tout l’inverse que vous ressentez ? Mis à part le fait que des choses ennuyeuses en sont le déclencheur, il existe un véritable élément agissant : c’est évidemment « l’énergie ». Vous vous êtes porté dans les basses fréquences. Garder ou rehausser ses énergies, ça se travaille, et ça se transmet naturellement.
Le résultat, c’est que quand vous êtes bien dans votre peau, vous avez naturellement tendance à vouloir rester dans ce bien, en évitant de chercher le mal, le négatif. C’est une énergie d’amour où personne n’ira chercher le mal. Il n’y a que ceux qui sont mal, qui inconsciemment, recherchent et attirent le mal. Ils sont comme prisonniers du mal, du côté sombre et négatif. Ils le nourrissent et s’en nourrissent.
Tout évolue obligatoirement, et s’il n’y a pas d’évolution, c’est l’involution. Et cette dernière, c’est la mort. Êtes-vous mort ? Non. Donc vous évoluez. Et quand on évolue, on change. Quand il y a changement au présent, il s’ensuit obligatoirement un changement dans le futur qui lui est propre. Ne croyez pas non plus que si vous êtes dans une position stagnante, vous ne changez rien. Vous êtes peut-être sous une certaine forme en stand-by, mais tant que vous vous intéressez à la vie de façon directe ou indirecte, vous évoluez.
Entre parenthèses, j’aimerais vous démontrer qu’en changeant au présent, il se produit également modification dans le passé. Donc le passé devient également relatif au présent. Bien sûr, l’histoire reste l’histoire, mais la façon de la comprendre et de l’appréhender peut changer sa face ou sa « forme ». En passant par le présent, les répercussions futures s’en trouveront obligatoirement changées. Je veux dire que si on lâche prise dans le présent sur différents points négatifs, durs et traumatisants du passé, c’est une façon de changer le passé, et de ce fait, le futur changera également. Je trouve ce raisonnement d’une profondeur stupéfiante et qu’il est absolument primordial de le savoir et voire, de l’appliquer pour pouvoir changer certaines affaires cycliques. Tous les temps se réalisent en fait à partir du présent. Encore une fois, vu sous cet angle, « tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ».
Au ciel, il n’y a pas de temps. Tout est réuni au présent. On peut appeler cela le point zéro ou le temps astral. Dans cette dimension, les temps passés et futurs évoluent en d’autres sphères auxquelles on accède par la pensée. Ou sur terre, certains y accèdent via la méditation. En réalité, il y a autant de sphères évolutives de passés, que de possibilités de futurs. Et quand on fait un choix dans le présent, on lie leurs sphères correspondantes passée et future. En d’autres termes, chaque choix appartient à un passé et un futur qui lui sont propres. Mais pour le moment, je préfère m’arrêter là, sur la question du temps. C’est déjà suffisamment compliqué comme cela.
Revenons à l’évolution et à la question des affaires cycliques
Vous me direz probablement encore : je ne suis pas mort, mais, peut-être que nous nous dirigeons vers l’apocalypse ? Si vous évoluez, il est impossible que vous alliez vers la mort. Mais méfiez-vous quand même ; si vous pensez cela, il est possible que vous y alliez. C’est là où est la nuance, et c’est une nuance des plus influentes sur le futur.
Maintenant, pour ceux qui ne savent pas, je dois vous révéler un secret qui fait toute la différence entre les karmas cycliques, et l’évolution dans le sens dharmique, pour se créer de bons karmas.
La réalité est que :
Tout ce qui n’est pas résolu dans la vie de chacun ou de l’humanité se représentera de manière cyclique.
Inversement, tout ce qui évolue trouve naturellement le chemin pour vivre et se parfaire. C’est-à-dire résoudre ses problèmes, lâcher prise et, les dépasser. Et un problème résolu est un changement. Il ne se retrouve plus dans les cycles du karma et les influences cosmiques. De ce fait, « résoudre ses problèmes, lâcher prise et les dépasser », entraînera un changement « évolutif » permettant de sortir de la spirale des cycles karmiques et des influences cosmiques.
Il est vrai que dans l’évolution, cela demande quelquefois beaucoup de temps, mais dans l’absolu, ou c’est la mort, ou on évolue. Aussi, pour soi-même ou pour le monde, le fait d’évoluer implique obligatoirement de résoudre ses problèmes intérieurs. Même s’il ne s’agit là que de parties de problèmes, sachez que ce qu’il restera de « non résolues » se retrouvera inexorablement dans les cycles karmiques. Alors je pense que vous pouvez comprendre qu’il est préférable pour chacun de s’efforcer de changer.
Quand je parle d’« évolution », il s’agit évidemment d’évolution de conscience. Il s’agit de l’être spiritualisé en connaissance des bases les plus saines permettant de se parfaire. Quand un problème n’est pas résolu, c’est comme si on redoublait une classe, sauf que l’histoire est nouvelle. Elle est généralement différente, mais elle parle toujours du même problème de fond. Donc, déjà ; dans toute étude du genre « textes sacrés, visions, prophéties », il faut tenir compte que l’intérêt doit être porté sur le fond, plutôt que sur l’histoire. L’histoire est plus à prendre en tant que support. Et la vérité est que même l’histoire est changeante.
(extrait de chapitre du livre : Une Nouvelle Conscience UN NOUVEAU MONDE)
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